Voici l’interview de Ludovic Zipsin, Software Engineer chez Agile Partner qui se prête au jeu de l’Agile Curious. Comme pour Jérémy, Ludovic a répondu à une série de questions pour que l’on puisse en apprendre davantage sur son parcours.

Peux-tu nous rappeler ton parcours en quelques mots ?

J’ai commencé à travailler en 2017 en Belgique quand j’étais encore étudiant, en tant que consultant java pour People&Technology. Le client était une autre société de consultance (Afelio) pour finalement être placé sur un projet Ethias dans une équipe agile. Une sorte de consultance à plusieurs niveaux donc. Après un an, on m’a proposé de rejoindre Afelio en interne, ce que j’ai accepté.

Après un an et demi sur le projet Ethias, j’ai reçu une proposition pour rejoindre des projets dynamiques sur Belval. Ironiquement, c’était un retour aux sources puisque je suis originaire de cette région, mais du côté français. C’est ainsi que j’ai rejoint Aubay pour un projet Pictet Technologies. J’y ai beaucoup appris et ai pu évoluer vers du FullStack avec Angular. C’est là que j’ai découvert Agile Partner puisqu’ils y faisaient régulièrement des formations autour de l’agilité.

Puis la COVID est passé, et comme partout, les missions des consultants ont été déplacées. Une bonne occasion pour essayer quelque chose d’autre. J’ai donc choisi un poste en interne dans une banque un peu atypique : John Deere Financial. Un beau défi puisque ce fut mon premier poste en tant que non consultant, dans une banque (donc une dynamique complètement différente) et sur une stack différente de ce que j’ai fait professionnellement jusque là : cloud AWS, React, Python, toujours un peu de Java bien sûr, dans un très beau projet de migration vers un datalake dans le cloud.

Mais, après avoir gouté au dynamisme de la consultance, il est difficile de s’adapter à celle des institutions financières. C’est là que j’ai rejoint Agile Partner.

Qu’est ce qui t’a fait rejoindre AP en 2021 ?

J’ai eu la chance de les connaitre en tant que formateurs avant de les connaitre en tant que société de consultance. Donc je savais avant de les rejoindre l’importance qu’ils placent dans la qualité, les bonnes pratiques, le partage et l’agilité. Je pense que c’est le premier point qui m’a convaincu de les rejoindre.

Un autre point est leur portefeuille de client et la certitude d’évoluer dans des projets qui me correspondent.

Enfin, petit point particulier à la consultance, c’est la relation employeur-employé. Bien souvent, en étant placé chez un client, en tant que consultant on perd un peu le contact avec son employeur. Non pas que ce soit gênant, mais ça manque parfois un peu d’humain. En les rejoignant, je savais que le client chez qui j’allais évoluer était toujours en relation étroite avec Agile Partner. Je savais donc que je me sentirais un peu moins livré à moi-même.

Quels sont tes hobbies en dehors du travail ? 

Passé du temps avec ma femme et notre chat. Quelques cours de tango quand nous le pouvons. Et encore plus de code pour essayer de nouvelles idées ou des nouveaux framework ou langages. 

Si tu n’avais pas été développeur, quel autre métier aurais-tu aimé exercer ? 

Mon hobby est devenu mon travail. Mais initialement, j’aurais bien aimé être ingénieur en génie biomédicale. Plus petit, je voulais être médecin légiste. Mais maintenant, je pense que je choisirais Data Scientist.

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