Comment moderniser son environnement informatique dans un cadre budgétaire restreint ? C’est le défi auquel sont confrontés en permanence les responsables informatiques, au Luxembourg comme ailleurs. C’est aussi la thématique qui sera abordée lors de l’Executive Lunch d’ITnation, organisé le 17 juin à l’Hôtel Le Place d’Armes, de 12 h à 14 h, en collaboration avec AmeXio et IBM. Si vous souhaitez prendre part à la discussion, il reste encore des places disponibles.

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« Aujourd’hui, les organisations font face aux mêmes enjeux. Elles doivent moderniser leur environnement informatique pour satisfaire aux nouveaux besoins du business, en matière de traitement des données et d’amélioration des processus, tout en maîtrisant les coûts, commente Michel Goffin, Territory Director d’AmeXio, Belgium, Germany & Luxembourg. À cela s’ajoutent des défis liés à une incertitude croissante, en provenance notamment des États-Unis, qui soulève de nouveaux enjeux de résilience, vis-à-vis notamment de l’utilisation des plateformes cloud. »

Explorer tous les leviers de rationalisation

Mardi prochain, au cœur de l’échange modéré par Yannick Bruck, finaliste du prix CIO of the Year 2025, la volonté est de permettre aux responsables informatiques présents d’évoquer leurs défis ainsi que les solutions à mettre en œuvre. Pour soutenir la discussion, les responsables d’AmeXio partageront également des retours d’expérience concrets, autour de projets menés auprès de leurs clients.

« Dans le contexte actuel, le défi est de parvenir à repenser l’infrastructure existante, notamment à partir d’un environnement géré en local, tout en répondant à des exigences réglementaires renforcées, avec notamment DORA et NIS2 », commente Gamal Khaldi, qui a rejoint l’équipe d’AmeXio après avoir mené un vaste projet de transformation de l’architecture et de l’infrastructure des systèmes opérationnels du ministère des Finances en Belgique. « Aujourd’hui, il est important de repartir des demandes du business, actuelles et à venir, afin d’envisager comment rationaliser au mieux les ressources informatiques disponibles, entre capacité de calcul et besoins en stockage », poursuit-il.

L’exigence d’une réflexion approfondie

Dans cette démarche, AmeXio a développé une expertise reconnue à travers divers projets. Lors de l’événement, les interlocuteurs présents pourront évoquer la mise en œuvre d’une solution LinuxOne d’IBM pour le ministère des Finances en Belgique, afin de garantir un traitement efficace des opérations (1 500 milliards de requêtes chaque année) avec un temps de réponse optimal. D’autres approches, en matière de déploiement d’infrastructures de stockage au service de la résilience des acteurs ou d’une adoption maîtrisée de l’intelligence artificielle seront aussi abordées. « L’IA implique notamment de renforcer ses capacités de calcul tout assurant une protection optimale des données, cela alors que la pression sur les coûts s’intensifie. Dans ce contexte, on ne peut plus faire l’économie d’une réflexion approfondie en vue de rationaliser ses systèmes, poursuit Michel Goffin. Pour cela, il faut pouvoir considérer l’ensemble des solutions existantes dans une optique de rationalisation. LinuxOne est l’une des solutions aujourd’hui proposées par IBM, mais c’est loin d’être la seule. » Des solutions comme IBM Guardium, WatsonX ou encore les Cloud Paks constituent d’autres leviers d’optimisation.

Une approche guidée par le business

Pour accompagner les organisations dans cette démarche de rationalisation, AmeXio met en avant une approche unique : partir des enjeux métiers pour définir les architectures adaptées et envisager les solutions les plus appropriées. « Rationaliser implique de prendre en compte diverses variables, à partir d’une architecture flexible et de solutions de stockage adaptées, notamment si celles-ci sont critiques pour le business », poursuit Gamal Khaldi. Les acteurs doivent mettre en place des approches leur permettant de savoir en permanence où sont leurs données, qui peut y accéder, tout en facilitant leur traitement et en limitant les ressources nécessaires pour les exploiter.  C’est cette démarche, guidée par les besoins du business, qui doit permettre d’améliorer l’efficience, de réduire les coûts ainsi que l’impact environnemental des systèmes informatiques. »

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