10 grammes. C’est l’équivalent CO₂ d’un email moyen stocké dans votre boîte mails. Pour une entreprise de 100 salariés, ce sont environ 14 allers-retours Paris-New York en avion chaque année. Avouez que vous ne verrez plus votre compte-rendu de réunion de la même manière. Dans un marché luxembourgeois où la transformation digitale s’installe peu à peu comme l’un des défis majeurs auxquels les entreprises vont faire face dans les années à venir, la notion de Sustainability a fait son entrée comme enjeu principal pour les acteurs en charge d’accompagner les sociétés installées au Grand-duché. Parmi elles, Devoteam, intervenant auprès de nombreuses organisations dans des secteurs variés, a repensé son approche du Change Management afin d’apporter à ses clients une dimension durable dans le déploiement de leurs projets informatiques.

S’inscrire dans une démarche durable, c’est tout d’abord répondre aux réglementations européennes de demain, et notamment la nécessité de tendre vers une réduction drastique de ses émissions de gaz à effet de serre pour atteindre le 0 émission en 2050. Les moyens de le faire sont nombreux, certains surveilleront leur consommation électrique et mettront en place des solutions pour réduire celle-ci, quand d’autres concentreront leurs efforts sur les infrastructures de stockage de leurs données en optant pour des offres de cloud public. Le point commun est la difficulté à évaluer l’impact véritable des mesures prises par ces compagnies et donc d’optimiser ces bonnes pratiques.

Cependant, il n’est bien entendu pas uniquement question ici d’écologie, mais bien de la responsabilité sociale que peut avoir chaque entreprise dans son secteur. Les actions mises en place et l’image de la compagnie dès lors qu’il est question d’enjeux sociaux a pris une importance considérable depuis le début du XXIème siècle. Ainsi, l’équilibre entre vie privée/vie professionnelle, mais également les pratiques de travail mises à rude épreuve durant la pandémie et l’émergence de l’organisation hybride entre la présence sur site et le télétravail sont autant de nouveaux leviers pouvant motiver les membres, ou futurs membres, d’une organisation. Le XXème siècle a connu le Taylorisme, notre ère se tourne désormais vers l’autonomie et l’initiative des collaborateurs. Finies les longues chaînes de production, bienvenu dans l’innovation et la rationalisation du travail non plus uniquement en termes de temps, mais surtout au travers du bienêtre et de la durabilité. Et si l’objectif reste le même, et que la croissance de l’entreprise reste au centre de la stratégie, le pari du facteur humain semble être un virage que les mastodontes tels que Microsoft ou Google (pour ne citer qu’eux) ont décidé de prendre, à travers des initiatives de flexibilité des horaires de travail, de la situation géographique, et même en termes de politique de congés.

Pour toutes ces raisons, Devoteam, au travers de son équipe de change management déjà implantée au Luxembourg, a décidé d’enrichir ses offres de son expérience dans les sujets durables. Tout juste auréolée de son 3ème titre de Microsoft Partner of the Year, l’entreprise s’appuie sur son infrastructure hébergée à 100% dans le cloud pour valoriser ses projets de digitalisation auprès de ses clients. « Il n’y aura qu’une transformation et elle doit être digitale ainsi que durable » selon Thierry Barthel, Responsable du pôle de l’entreprise. Pour ce faire, Devoteam s’appuie sur 3 phases :

• Une évaluation des processus de travail actuel et de leurs impacts ;
• La définition et la construction avec ses clients d’un environnement durable et digitalisé
• Puis enfin, la possibilité d’améliorer « l’expérience employé » afin d’apporter des solutions durables et viables.

Intégrer la sustainability au Change Management, c’est avant tout une manière d’apporter l’idée de transformer les pratiques des utilisateurs, avant même d’évoquer un outil. L’évaluation de la maturité, au travers de l’infrastructure, de l’appareillage, mais aussi de la chaîne d’approvisionnement et des applications, amène à une réflexion sur une transition des usages et l’amélioration des habitudes business de l’organisation. Ces changements s’opèrent à deux échelles, d’un côté l’IT, avec des outils de mesure dédiés et une recherche de pérennité dans les habitudes de consommation, et de l’autre au niveau de l’entreprise avec une rationalisation de la stratégie pour s’adapter à des facteurs externes de plus en plus exigeants, que ce soit d’un point de vue environnemental avec ses émissions de CO2 ou social dans l’approche de la relation avec le salarié. « L’objectif est de montrer par l’exemple, ne serait-ce que par des petits gestes, souligne Marie-Gabrielle Poupel, Customer Success Manager de l’entreprise. Nous avons récemment investi énormément de temps pour améliorer le tri des déchets. Ceci, combiné avec d’autres initiatives internes, poussent nos consultants à encourager des actions chez leurs clients ». Autrement dit, l’objectif de Devoteam est de traduire les habitudes de leurs partenaires commerciaux en méthodes automatisées plus fluides et plus écologiques, afin que leurs collaborateurs se concentrent sur ce qui compte.

Que ce soit au bureau ou dans notre vie de tous les jours, la sustainability est devenu un sujet de débat primordial sur lequel les organisations doivent commencer à se pencher. D’ailleurs, si l’on en croit les statistiques, 72% des 13-17 ans estiment qu’ils prendront en compte l’impact social et environnemental de leur futur employeur. Et bien que la vérité ne sort peut-être pas toujours de la bouche des enfants, nous pouvons décemment croire qu’en les écoutant, les entreprises qui prennent le pari de la Sustainability vont en ressortir gagnantes.

Pour en apprendre plus sur les initiatives durables, Devoteam a d’ailleurs publié son premier rapport de Responsabilité Sociale et Environnementale :

https://www.devoteam.com/wp-content/uploads/2022/06/Devoteam-CSR-report-2021.pdf

Retrouver aussi la page dédiée à la responsabilité sociale de l’entreprise :

https://www.devoteam.com/csr/