Kaspersky Lab est actif depuis vingt ans et l’entreprise de cyber-sécurité fête cet anniversaire avec le lancement de Earth 2050, un site Web qui lève le voile sur les développements sociaux et technologiques des trois décennies à venir.

Le site fait la part belle aux visions de l’avenir de futurologues comme Ian Pearson, d’artistes, de scientifiques et des propres chercheurs de Kaspersky. Résultat: une image réaliste d’un futur pas si éloigné. Sur la base de plus de deux cents prévisions, les visiteurs peuvent se faire une idée détaillée du futur et sont également invités à faire part de leur propre vision.

Comment allons-nous gérer la protection de notre vie privée dans un monde entièrement digitalisé ? Si tous les appareils sont bientôt implantés dans nos propres corps et si tout ce que nous avons se retrouve dans le cloud, comment allons-nous veiller sur nos données ? Et, très concrètement pour une entreprise de cyber-sécurité: que va-t-il se passer s’il n’y a plus de terminaux ? Le secteur va-t-il proposer plus rapidement des solutions de sécurité qui correspondent parfaitement à la situation précise du client, quel que soit l’appareil utilisé ? Avec Earth 2050, les experts en sécurité de Kaspersky Lab veulent non seulement comprendre à quoi ressemblera le monde dans un avenir relativement proche, mais aussi tous les défis qui en découlent, et surtout permettre à tout un chacun de savoir ce qui nous attend tous.

“Toutes les prévisions sur le site Web peuvent devenir réalité dans quelques dizaines d’années”, précise Martijn van Lom, General Manager Benelux de Kaspersky Lab. “Pour nous, Earth 2050 est bien plus qu’un simple exercice de créativité. Cela fait déjà vingt ans que nos experts luttent contre la cybercriminalité, qu’ils sont au premier rang de l’évolution des menaces numériques, qu’ils partagent leur expertise et encouragent les utilisateurs à se préoccuper davantage des aspects liés à la sécurité des nouvelles technologies. Voitures qui se conduisent toutes seules, infrastructures intelligentes, données médicales qui peuvent être consultées par des médecins dans le monde entier: autant d’inventions formidables aux avantages énormes, mais qui ont dans le même temps des points faibles. Des défis dont se réjouissent les cybercriminels.”

Actuellement, le site Web propose des visions du futur pour quatre-vingts villes sur l’ensemble de la planète. Il suffit de cliquer sur l’une de ces villes pour que les prévisions s’affichent sur la carte. Le portail se subdivise en trois catégories d’époque: 2030, 2040 et 2050. Chaque catégorie comprend des visions d’experts reconnus dans différents domaines, comme celle du futurologue Ian Pearson et de différents experts de Kaspersky Lab.

Le voyage passionnant dans le futur ne se limite pas à du texte. Sur Earth 2050, vous trouverez aussi une douzaine de panoramas de villes du monde comme Barcelone, Washington DC et Shanghai, avec du matériel visuel de différents artefacts du futur. Le visiteur peut ainsi jeter un regard à 360° sur la vie urbaine dans le futur, comme s’il y était. Sera-t-il un jour possible d’adapter de façon illimitée l’apparence de tous ceux que nous voyons? Porterons-nous bientôt des vêtements dont nous pourrons changer d’un simple claquement de doigts? Les voitures autonomes sont-elles l’avenir des taxis? Notre sommeil sera-t-il peuplé de messages publicitaires? Ce ne sont là que quelques questions auxquelles le site donne une réponse.

Les visiteurs de Earth 2050 peuvent échanger des idées entre eux sur les prévisions et faire connaître leur propre vision du futur à l’aide d’un formulaire de feed-back spécial. Une fois approuvées par la rédaction, ces idées sans doute révolutionnaires elles aussi seront publiées sur le site. “Earth 2050 continuera d’évoluer avec les nouvelles prévisions d’experts du monde entier et tout autre contenu frais issu de différentes sources”, indique van Lom, “mais nous espérons naturellement que, grâce à la créativité et l’inventivité sans limite du plus possible de visiteurs, nous pourrons continuer à étendre notre image du futur.”