De nouvelles archives augmentées pour la recherche luxembourgeoise

Le Laboratoire de recherche sur la Biologie Moléculaire et Cellulaire du Cancer basé au Luxembourg (LBMCC) a fait appel à MyScienceWork, une start-up luxembourgeoise, pour la création de ses archives augmentées afin d’améliorer sa visibilité internationale. L’entreprise offre désormais des archives personnalisées et optimisées pour les résultats de la recherche avec des outils statistiques, de communication et de réseau.

December 11, 2014

Le Laboratoire de recherche sur la Biologie Moléculaire et Cellulaire du Cancer basé au Luxembourg (LBMCC) a fait appel à MyScienceWork, une start-up luxembourgeoise, pour la création de ses archives augmentées afin d’améliorer sa visibilité internationale. L’entreprise offre désormais des archives personnalisées et optimisées pour les résultats de la recherche avec des outils statistiques, de communication et de réseau.

Crée en 2004, LBMCC compte plus de vingt collaborateurs. Laboratoire de recherche fondamentale, ses domaines de recherches sont:
• les mécanismes moléculaires impliqués dans le développement de résistances contre les agents chimiothérapeutiques;
• la thérapie de différenciation basée sur une approche à travers laquelle les cellules malignes immatures sont traitées de manière à devenir plus matures;
• le développement de nouvelles approches thérapeutiques basées sur des composés d’origine naturelle.

Start-up et recherche innovantes

Les Archives Augmentées de MyScienceWork sont le résultat de quatre années d’expertise et d’engagement pour la dissémination et la valorisation de la science. Plus qu’une archive classique, cet outil répond également aux enjeux transversaux et quotidiens touchant toute organisation du monde de la recherche : communication, mise en réseau, collaboration, pilotage.

Le Docteur Marc Diederich, directeur du LBMCC, est bien conscient de l’importance de la promotion de la recherche. « Les chercheurs aujourd’hui sont de plus en plus sensibles aux métriques, non seulement aux facteurs d’impact des revues, mais aussi à l’impact de leur propre travail, leurs citations et leur visibilité internationale. De nombreuses universités prennent aussi en compte des indices comme le Eigen Factor et le H-Index pour la promotion et l’évaluation des chercheurs. Nous avons besoin d’optimiser ces métriques avec des outils, des informations et des interactions au niveau scientifique. »

Des archives au service d’une communauté internationale

L’approche innovante de l’Archive Augmentée, basée sur l’interconnexion entre de nouveaux outils numériques et une communauté qui partage ses travaux sur une plateforme internationale unique, crée un cercle vertueux entre l’information scientifique et son impact sur la société et le grand public. Avec l’archive de LBMCC, Marc Diederich souhaite améliorer la visibilité du travail de son laboratoire, afin qu’il serve non seulement à d’autres chercheurs en cancérologie, mais aussi dans d’autres disciplines et à des non-scientifiques concernés. « J’espère voir se développer une dynamique où les gens viennent voir notre travail et nous contactent pour demander des reprints, des précisions et nous proposent des collaborations, » ajoute-t-il.

« Nous continuons de prendre part à la révolution qui a lieu aujourd’hui dans la communication scientifique avec le lancement de nos plateformes pour les instituts de recherche, » commente Virginie Simon, CEO de MyScienceWork.

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A propos de MyScienceWork :

MyScienceWork (www.mysciencework.com) développe des plateformes en ligne sur mesure pour des institutions scientifiques, intégrées au sein d’un unique portail international. Le service de l’entreprise mobilise tous les canaux existants pour la dissémination et la communication de la recherche : libre accès aux publications scientifiques, outils de recherche innovants et vulgarisation scientifique, le tout associé à une communauté internationale de chercheurs et d’amateurs de sciences. MyScienceWork a été créé en 2010 par deux jeunes entrepreneurs aux profils complémentaires : Virginie Simon, chercheuse en nanotechnologies contre le cancer, et Tristan Davaille, ingénieur financier. Après avoir construit une solide communauté de chercheurs et passionnés des sciences et établi des partenariats avec des institutions renommées, l’entreprise a lancé son site www.mysciencework.com en septembre 2013. L’équipe de MyScienceWork est composée de quinze personnes. Son objectif principal est d’offrir un maximum d’accès aux informations liées à la recherche à des marchés non-ciblés à travers des outils numériques et des plateformes adaptées aux instuts de recherche. [/colored_box]

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