Il est ressorti des discussions organisées par Charles River que la conformité historique, la mise en place de politiques de meilleure exécution, l’analyse des coûts de transaction et le support des dérivés représentent les premières priorités technologiques

Lors d’une réunion organisée autour d’un petit déjeuner à Paris pour les clients français de Charles River Development (Charles River), les gestionnaires d’actifs ont reconnu que la ‘Directive MIF’ et le support des produits dérivés étaient aujourd’hui les principaux moteurs technologiques du marché français. La réunion rassemblait investisseurs institutionnels décisionnaires et sociétés de conseil dans le but de discuter des tendances du marché et des défis associés au support des produits dérivés et à la règlementation européenne.

L’équipe France de Charles River, les clients, les prospects et les consultants ont discuté de l’utilisation des solutions logicielles chez les investisseurs institutionnels français. “Nous utilisons Charles River Investment Management System (Charles River IMS) sur notre table de négociation parisienne depuis 2002”, dixit Patrice Robert, responsable du trading pour Natixis Asset Management. “Nous avons d’abord déployé le module trading sur la table Actions afin de fluidifier les opérations et accroitre l’efficacité opérationnelle. Compte-tenu des résultats, nous avons souhaité étendre le système au module gestion des portefeuilles Actions ainsi que le module trading sur le Fixed-Income. Nous allons déployer Charles River Compliance en 2009 et considérons également la migration de la gestion des portefeuilles taux sur Charles River IMS.”

Les participants ont signalé que les investisseurs institutionnels doivent considérer l’intégration d’une architecture ouverte qui puisse s’adapter à des défis tels que la conformité avec la ‘Directive MIF’ et l’intégration des produits dérivés. En outre, les participants ont conclu que l’utilisation d’équipes d’intégration locales expérimentées contribuait largement à la réussite des projets.

Les consultants techniques de Charles River ont expliqué quelles étaient les problématiques habituelles de mise en œuvre, tels que la connexion brokers via le réseau Charles River FIX, et la nécessité de configurer et développer des interfaces avec les systèmes existants, afin de fluidifier le cycle d’investissement.

“En réponse à la ‘Directive MIF’, Charles River a développé des fonctionnalités de conformité étendues et des outils sophistiqués de ‘Best Execution’, comme la connectivité aux sources de liquidités et l’analyse des coûts de transaction pré et post-trade,” déclarait Guillaume Poitevin, directeur régional des ventes pour Charles River. “Nous travaillons en étroite collaboration avec nos clients pour comprendre leurs exigences et développer ainsi des solutions adaptées. Par exemple, notre dernière version fournit des fonctionnalités améliorées pour le traitement des dérivés et de fixed-income. De même, la conformité historique est une priorité pour nos clients français. La bibliothèque des règles de conformité de Charles River comporte plus de 1000 règles pré-intégrées, incluant les règles AMF et UCITS III. Nous élargissons en permanence l’offre conformité, la dernière version comportant la conformité historique.”

Charles River a remporté de nombreuses distinctions de l’industrie, comprenant: Best Buy-Side Order Management System, TradeTech 2008, 2007; European Front Office IT Company of the Year, Funds Europe 2007 Awards; Best Buy-Side Order Management System and Best Integrated Front-Office Platform, Buy-Side Technology 2007 Awards; Best Portfolio Management System, Waters Reader Rankings 2007; and FinTech Top 100, American Banker/Financial Insights 2007.