Jean-François Hugon, Head of Marketing d’EBRC, a accepté de partager avec les lecteurs d’ITnation quelques recommandations de lecture pour l’été. Par Sébastien Lambotte

Que lit Jean-François Hugon durant son temps libre en été ?

Le monde est clos, le désir infini

Sa première recommandation n’est autre que l’essai de Daniel Cohen, Directeur du département d’économie de l’Ecole normale supérieure et co-fondateur de l’Ecole d’économie de Paris, intitulé « Le monde est clos et le désir est infini ». « Daniel Cohen propose une réflexion philosophico-économique sur notre société : croissance stagnante, krachs, innovations de rupture, bipolarisation de la courbe de l’emploi… Pour mieux s’interroger sur la place  le bonheur dans tout ça », commente Jean-François Hugon.

Un deuxième ouvrage à lire cet été ?  « Les Tips de Michael Tobin, ajoute Jean-François Hugon. « Forget strategy. Get Results » est une invitation à penser différemment mais surtout à retrouver la voie du « bon-sens » au travers du retour d’expérience de l’auteur. »

Pour ne pas oublier Cabu

Sur un mode plus léger, le responsable marketing d’EBRC est amateur de BD. Avec, « Le pire n’est même pas certain », par Voutch, sorti en 2009. « Et si nos vies n’étaient qu’une succession de gags ?, commente Jean-François Hugon. Pour les plus de 16 ans, je suggère de relire Edika, et son « Homo sapiens connardus » ou encore la compilation des planches du « Beauf » de Cabu, pour ne rien oublier. »

Enfin, pour les professionnels de l’IT, et « les plus courageux » : « Blockchain revolution » de Don Tapscott et Alex Tapscott. « L’ouvrage analyse la révolution block chain et ses perspectives. »

Et un peu de musique électronique 

« Et pour accompagner ces lectures face à la mer ou très haut en montagne, la musique de Molécule (Romain Delayae), qui nous offre l’album « 60°43’ Nord » enregistré sur le chalutier industriel Joseph Roty au cours d’une campagne de 5 semaines de pêche non-stop en Mer du Nord. Une expérience énorme dans le son électronique », explique Jean-François Hugon.