Sogeti a l’ambition de mener une stratégie de recrutement intensive dans les prochains mois. D’ici la fin 2011, Sogeti Belux espère bien recruter 340 nouveaux employés dont 140 à Luxembourg et augmenter ainsi le volume de leurs activités en conséquence. Le projet s’inscrit dans une volonté de renouer avec une croissance similaire à celle d’avant 2010.

Photo: Philippe Margraff et Frédéric Du Jardin

« Notre message est assez clair, notre entreprise a toujours vu croître son personnel. En 2000, par exemple, nous avions engagé 175 employés, en 2005, plus de 300…  En 2010, par contre, nous n’avons pas pu poursuivre dans cette direction.  En 2011, nous voulons retrouver la croissance qui a toujours été la nôtre et passer le cap des 500 collaborateurs. Après avoir réorganisé nos domaines d’expertise en 2010, le timing était parfait pour recruter de nouveaux profils. Je pense que les signaux du marché sont encourageants sans être non plus époustouflants, mais nous choisissons d’être optimistes», explique Frédéric Du Jardin, HR manager chez Sogeti Belux.

Différents profils

Plusieurs niveaux d’expérience et de formation sont bienvenus. « Nous restons bien sûr une société informatique, mais nous ne recherchons pas que des profils d’informaticiens. Dans nos départements ‘’Testing’’ et ‘’Infrastructure Services’’, nous engageons souvent des collaborateurs qui viennent seulement de terminer leurs études. Nous organisons ensuite des formations spécifiques », ajoute-t-il. Connue également pour son programme de training, Sogeti propose fréquemment des académies ciblées, sur Windows7 par exemple, ainsi que des méthodes d’e-learning.

« Notre souhait de développer notre expertise implique que l’on améliore et enrichisse continuellement nos programmes de formation. Garder nos employés est une de nos priorités. Nous avons pour cela mis en place différentes stratégies pour assurer une bonne liaison entre Sogeti et ses employés. Par exemple, nous tenons à ce que les managers se rendent sur site fréquemment pour garder le contact avec les consultants qui ne viennent pas souvent au bureau. Nous allons continuer dans cette voie », termine Frédéric Du Jardin.